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tommy flanagan | Fraser MacFarlane

@ Fraser MacFarlane

Fraser MacFarlane
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Pseudo et pronoms : Tara (Taranys) | Elle/she/her
Face claim : Tommy Flanagan
Crédit : Wyrd
Date d'inscription : 05/05/2022
Messages : 36
Personnal trigger : Aucun, tant que ça ne vire pas à la banalisation
tommy flanagan | Fraser MacFarlane 3df3bc478e7bae3f0b1cbd78857f3f6f74238e13
Pronom(s) : Il/he/him
Petits liens utiles
Présentation & Liens & Rps
Statut : Les journaux se prêtent à lui imaginer quelque aventure avec les élues ou collaboratrices de son cabinet, mais Fraser n'en reste pas moins célibataire, dont tout le temps libre se consacre à sa fille adoptive
Activité : A la tête de son cabinet d'avocats, Fraser siège aussi au conseil de quartier de Bridgton en tant qu'élu.
Rp et TW : Disponibilité rp : 0/2
Rp à la 3e personne (Il), avec une moyenne de 1 000 mots par réponse.
Je peux répondre très vite (dans les 24h) comme très lentement, tout dépend de mon emploi du temps du moment.

Warnings : Violence verbale ou physique, décès, SPT, possible mention de torture dans le passé
#
Jeu 5 Mai - 19:36
Fraser MacFarlane

feat Tommy Flanagan


avatar

 identité | Combien de lèvres susurrent désormais son nom ? Les journaux se régalent d’articles à son nom, délicieuses lignes pour captiver les lecteurs. Fraser MacFarlane, un nom qui respire son Ecosse natale ; sa douce Ecosse. naissance | Au petit matin d’un sept octobre naquit Fraser en l’an mille neuf cent soixante-dix-sept, dans la belle ville de Glasgow. Si les adeptes de l’astrologie le désignent comme balance, Fraser ne s’en préoccupe guère. nationalité et origines | Alors que certaines lèvres indigentes cancanent sur ses origines écossaises, Fraser n’éprouve aucune honte à afficher sa double-nationalité, écossais par son père, américain par sa mère.  pronoms et genre | Bien que les apparences soient trompeuses, et Fraser en conviendra, il reste un homme qui se genre comme tel. Donnez-lui du « elle » et il vous assènera son cynisme acéré. orientation sexuelle et situation relationnel | Avides d’informations croustillantes, les journaux s’emparent de la vie sentimentale de Fraser et lui prêtent quelque relation avec ses collaboratrices ou les politiciennes de Bridgton. Fraser reste toutefois célibataire depuis plusieurs années, en dépit des aventures que les tabloïds lui prêtent, et se décrit auprès de son entourage proche comme compliqué-sexuel – une façon amusée de manifester son désintérêt pour ce genre de questions. Fraser n’aborde que peu sa vie sentimentale en privé, encore moins en public. Pourtant, en son for intérieur, il se définirait plutôt comme homosexuel, et chérit sa fille adoptive dont il cache l’existence. Activité | Avocat de renom, Maître Fraser brille par les affaires gagnées et la liste d’attente du cabinet MacFarlane ne désemplit pas. Parfois, il s’empare d’une affaire qu’il porte devant les media pour souligner toute l’injustice sociale subie par les victimes ; les tabloïds raffolent des procès où il intervient. Défenseur des femmes, il a fait de la lutte contre les violences faites aux femmes son fer de lance lors de sa première campagne politique dans la ville de Bridgton. Il siège désormais au conseil de quartier en tant qu’élu dans le cadre de son deuxième mandat. Puis, à l’abri des regards, Fraser fraie avec les criminels et autre mafia de Bridgton. Les talents d’un avocat s’achètent toujours à prix d’or.  arrivée à Bridgton | Voilà douze ans que Fraser s’est installé dans la bourgade tranquille de Bridgton. Il ne connaissait pas la ville auparavant, mais a choisi de s’y installer sur conseils d’un ami.  caractère et particularité | Lorsque vous pensez connaître Fraser MacFarlane, vous découvrez à quel point vous êtes ignorant. Le connaître sur le bout des doigts s’apparente à attraper de la fumée avec les doigts ; c’est mission impossible. Peu importe qui vous êtes, cet homme vous dissimulera toujours quelque chose. Il ne peut en être autrement. Devant les journaux, il brille, le verbe précis et assuré. Sa jambe boiteuse n'entache pas sa superbe. Un fin sourire sur les lèvres, sa parole engagée nourrit sa réputation. Un défenseur dans l’ère du temps, prêt à mettre la main à la pâte pour honorer ses engagements. Sa volonté de fer impressionne, tout comme son parcours. Par sa seule présence, il montre que les cicatrices du passé ne le définissent pas ; il ne cache pas les cicatrices qui fendent ses joues, héritage d’une agression sauvage à Glasgow. Puis, à l’ombre des regards, Fraser étend sa toile à travers la ville ; la politique, les finances, la justice, la presse, la criminalité… Tout y passe. Tout tombe sous son contrôle. Il se rend indispensable, collecte les secrets pour empêcher quiconque de se retourner contre lui. La confiance ne se gagne pas, pas plus qu’elle ne s’achète ; elle naît des secrets possédés.

photo


merci à Wyrd pour l'avatar et à Timide pour la photo et merci à Wyrd pour l'icone.

pseudo
Tara (Taranys)
pronoms
Elle
type perso
Inventé

photo

« Death is upon us. She hides in the shadows. Not every shadow, but any shadow. »

« Fraser, c’est ce gars que vous êtes incapables de cerner. Oh, la plupart des gens n’y voit que du feu, et le considère comme un avocat sympa, honnête et réglo. En même temps, avec les sujets dont il s’empare, comme la lutte contre les violences faites aux femmes ou encore la reconnaissance des LGBT+, voire l’écologie, difficile de faire autrement. Il a fait de son fer de lance les sujets d’actualité, et agi véritablement en leur faveur. Comment douter de sa parole dans ce cas ? J’entends beaucoup dire qu’il n’est pas comme ces autres tocards de politiciens qui mentent comme ils respirent.

D’autres se montrent plus méfiants, parce qu’ils se méfient de tous ces politiciens ; et je ne leur jetterai pas la pierre. D’une certaine façon, ils ont bien raison de se méfier de Fraser, même s’ils ne savent pas pourquoi. Ils ne le sauront sans doute jamais ; ceux qui approcheront d’un peu trop près de la vérité nourriront les poissons.

Puis il y a une petite poignée de personnes qui en savent davantage. Qui entraperçoivent la part d’ombre de Fraser. Car oui, l’avocat honnête et le politicien réglo est en réalité comme tout le monde ; une ordure. Le casier judiciaire de Fraser en ferait frémir plus d’un – même si une bonne partie de ses exactions remontent à l’Ecosse.

Moi ? Je suis une exception. L’un des rares à savoir la vérité ; toute la vérité. Fraser n’accorde sa confiance qu’à une poignée de personnes, qui se comptent sur les doigts d’une main. Tàhmas, aujourd’hui décédé ; Gil, un énergumène étrange mais sincère ; Isbeil, sa fille adoptive ; et moi.

Fraser, je le connais depuis l’enfance. On était dans la même classe. On se parlait pas vraiment à l’époque ; il a fallu attendre la fin du premier cycle, quand les profs nous ont collé d’office ensemble pour un projet de groupe. Après ça, on s’est plus lâchés, et par chance, on suivait notre cursus dans les mêmes écoles et dans les mêmes classes. Beaucoup étaient d’ailleurs jaloux de notre chance, et accusaient parfois les parents de Fraser d’avoir mis leur grain de sel.

La mère de Fraser était une avocate du droit des affaires assez connue de Glasgow, car elle travaillait pour une grosse entreprise américaine implantée en ville. Son père était le directeur de la branche écossaise de l’entreprise où travaillait sa mère. Pas les parents les plus présents du monde, mais Fraser s’en plaignait pas. Les MacFarlane ne vivaient pas dans le besoin, et l’avenir de leur fils était tout tracé ; de grandes études, puis la reprise de l’entreprise.  

Au lycée, Fraser a commencé de s’éloigner de ses parents. Il passait une bonne partie de son temps chez moi, ou on allait à la campagne, dans une maison d’un de mes oncles. Il me la prêtait quand je voulais. On était tranquille là-bas, et c’était ce qu’il fallait pour Fraser. Son père lui prenait la tête avec son avenir, comme quoi il devait faire une école de commerce, puis lui succéder à la direction de l’entreprise.

C’était ironique comment Fraser et moi étions deux opposés. Ses parents voulaient contrôler son avenir, les miens s’en contrefichaient comme d’une guigne – c’est pas comme s’ils s’intéressaient à moi de toute façon.

Avec Fraser, on a cherché une solution, un moyen de se faire de l’argent facile pour gagner en indépendance. Après le lycée, on a fait de la colocation avec un autre énergumène à l’appartement bien trop grand pour lui tout seul – foutu riche. Fraser a coupé les ponts avec ses parents, s’est lancé dans des études de droit. L’autre – Gil – suivait des études de médecine, tandis que je m’étais inscrit dans une fac d’économie. C’était drôle comment à nous trois on faisait converger des professions prestigieuses ou d’importance.

On fréquentait aussi un bar en particulier avec Fraser, qui avait une population « louche », comme diraient certains. A dire vrai, c’était surtout l’endroit parfait pour gagner de l’argent facilement, et ça n’était pas illégal. Le seul truc illégal dans la procédure, c’était l’usage qui en était fait. Fraser apportait une expertise juridique, expliquait les limites de certaines lois – ou comment les contourner, plus exactement – et exposait les futures évolutions juridiques. Moi, j’apportais des éléments économiques, presque de la gestion d’entreprise.

C’est assez drôle avec du recul. A peine sortis du lycée que nous conseillions déjà des criminels de renom.

Très vite, le gang local nous a eus à la botte et nous invitait à leurs « soirées ». L’argent n’était plus un problème, et on avait l’indépendance qu’il nous fallait. Les parents de Fraser ont bien tenté à plusieurs reprises de récupérer leur fils, ou plutôt de l’amadouer pour le pousser à revenir, mais il les a superbement ignorés.

A la fin de nos études, le gang nous a proposés une place en or à leurs côtés pour continuer notre collaboration. Ni Fraser ni moi n’avons refusé l’opportunité, même si nous avons gardé une activité légale pour les apparences. Fraser a rejoint un cabinet d’avocats plutôt réputé de Glasgow, tandis que j’ai intégré les équipes de la mairie pour travailler sur les finances de la ville. On logeait toujours chez Gil, d’ailleurs, avec qui on s’entendait bien – et difficile de trouver un autre appartement aussi bien pour le même prix.

Naturellement, nous ne sommes pas restés de simples consultants pour le gang. Nous avons officiellement intégré le gang, participé aux activités ou encore à certaines… altercations. Fraser participait souvent aux rencontres avec d’autres gangs afin de formaliser les ententes et les accords.

C’était de belles années. Fraser s’était même entiché d’un autre gars du gang, Tàhmas. Un chic type, d’à peu près le même âge que nous. Tous deux filaient le parfait amour. Bien sûr, les autres gars du gang n’étaient pas au courant ; Fraser a toujours préféré la discrétion et l’intimité. Je ne sais même pas s’il me l’aurait dit si je ne les avais pas surpris en train de se bécoter.

Ils ont aussi adopté une gamine orpheline, Isbeil. Concrètement la nièce de Tàhmas, dont les parents sont décédés lors d’un accident de voiture. Avec quelques magouilles, Tàhmas s’est assuré de récupérer la garde, et Fraser l’a aussi récupérée. Tous deux se sont occupés de la petiote avec soin et attention, et je crois qu’elle n’aurait pas pu mieux avoir comme parents adoptifs. Puis Isbeil a aussi son médecin attitré, Gil, qui est toujours prêt à les aider. Et je joue le rôle de l’oncle sympa.

Seulement, ce quotidien n’a pas duré. Le gang subissait d’autres frictions avec d’autres groupes criminels, les conflits s’intensifiaient. Avec les années, Fraser avait pris beaucoup d’importance au sein du gang, au point de devenir bras droit du chef. Comment dire qu’il constituait une cible de choix.

Un gang irlandais nous a finalement déclarés la guerre. Fraser l’avait vu venir, alors nous étions préparés, mais pas pour des conflits d’une telle intensité. Pas pour un conflit qui vira au personnel.

Le chef des Irlandais, un certain O’Phellan, a pris Fraser pour cible. Tàhmas s’est fait tuer, Isbeil a failli être enlevée. Gil l’a protégée, et a aussi soigné ses blessures.

J’ai cru que j’allais perdre Fraser. La mort de Tàhmas l’a dévasté, mais il s’est plongé dans le conflit avec les Irlandais pour noyer sa peine,  et ce en dépit de ses propres blessures. L’affrontement avec O’Phellan est devenu une affaire personnelle.

Au même moment, le père MacFarlane a cherché à renouer avec son fils pour lui proposer à nouveau de rejoindre son entreprise. Fraser l’a envoyé bouler avec pertes et fracas. Même maintenant, je trouve la coïncidence beaucoup trop louche.

Le lendemain, Fraser disparut. J'ai cru que mes craintes devenaient vraies. Je l'ai retrouvé avec Gil deux semaines plus tard, le visage tailladé par cette pratique barbare du sourire de Glasgow. Encore un coup d'O'Phellan ; j'en mettrai ma main au feu.

Gil a soigné Fraser, et dès que ce dernier fut remis sur pied, il a simulé sa propre mort tandis qu’il s’envolait pour l’Europe avec de faux papiers. Avec Gil, j’ai pris Isbeil sous mon aile pour lui faire quitter la ville et la cacher de toutes représailles. J’ai attendu plusieurs mois d’avoir des nouvelles de Fraser ; de longs mois durant lesquels je me suis rongé les sangs pour mon ami.

Finalement, Fraser m’a recontacté avec un faux nom – ou plutôt, un faux concours qui me faisait gagner des vacances à New York avec ma fille. Je n’ai pas cherché à comprendre ; j’ai aussitôt pris l’avion pour les Etats-Unis avec Isbeil.

Fraser ne nous attendait pas à l’aéroport. Un chauffeur nous a entraînés en voiture loin de New York, jusqu’à une petite bourgade du nom de Bridgton. Là, j’ai retrouvé Fraser. Il se portait bien malgré sa jambe boiteuse, avait repris sa vie d’avocat, et s’était assuré qu’aucun Irlandais ne l’avait suivi jusque-là. Il n’autoriserait pas ses parents ou O’Phellan à ruiner une fois de plus son existence.

Je suis resté à Bridgton avec Fraser et Isbeil. Gil nous a même rejoints ; une aubaine pour Fraser. Il faisait son maximum pour dissimuler au grand public sa vie de famille depuis que la presse se plaisait à écrire des articles à son sujet. Plus les années passaient, et plus Fraser gagnait en importance. Il s’est d’abord fait un nom en tant qu’avocat, puis s’est mêlé à la vie politique de la ville. Et naturellement, il a remis son nez dans la criminalité. A dire vrai, je sais ce qu’il cherche à faire ; il s’assure un contrôle total de toute la ville pour prévenir l’éventuel retour des Irlandais.

La nuit du 22 mars 2022 a été particulière. Encore aujourd’hui, je ne sais trop qu’en penser. Fraser non plus, mais il préfère rester lucide sur la question. Si certains croient en des évènements presque « paranormaux » survenus cette nuit-là, autant y croire aussi. De la sorte, il ne compte pas se laisser surprendre par un quelconque imprévu qui dépasse l’entendement. Et s’il n’y a rien ; rien ne change pour Fraser. »

— Pensées de Niven MacCallan

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@ Saddie Wilbur

Saddie Wilbur
Lost in between
Pseudo et pronoms : Sour. (she/her/elle)
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Crédit : jenesaispas (av) magickal spot (image)
Date d'inscription : 07/03/2022
Messages : 40
Personnal trigger : (t): dans les rps avec Saddie, merci de ne pas aborder ou décrire des scènes de violences conjugales ou agressions sexuelles ou d'indiquer ces contenues avant qu'ils ne s'affichent (tw dans le post ou mp).
cottagecore
Pronom(s) : Elle/she/her
Date de naissance : 23/07/1989
Age : 34
Statut : on lui prête des relations à tout va, pourtant, son palpitant vibre uniquement pour sa propre personne.
Activité : actrice déchue dont le nom ne se rapporte plus qu'au scandale et à la dépravation.
Rp et TW : Rp à la 3e ou le 2e personne du singulier (Tu/Elle), entre 400 et 900 mots, je répond assez vite quand mon emploi du temps me le permet, mais ça peut varier entre deux jours et une semaine ou deux.

(w. sujet possiblement abordée avec Saddie): mention de culte (wiccan), de secte (les disciples de l'Après, dont elle fait parti).
#
Lun 16 Mai - 11:23
Félicitation, tu es validé.e

Petit mot du staff - J'ai déjà dit tout ce que je pensais de Fraser, mais je le redis, j'ai vraiment hâte de le voir jouer, ça promet de belles étincelles dans Bridgton d'avoir ce très cher monsieur dans le coin !

Bienvenue à Bridgton: - Te voilà officiellement habitant.e de Bridgton, félicitations. Pour faciliter au mieux ta découverte de la ville, voici quelques petites pistes des endroits incontournables où tu peux désormais passer faire un tour:
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