identité | Il y a eu une période durant laquelle le nom de Sherlock Holmes était parfaitement inconnu au bataillon. Au rythme de ses exploits, sa silhouette a fini par se faufiler dans l'imaginaire collectif, et il est aujourd'hui autant difficile d'ignorer ce prénom que celui qui le porte. naissance | Le détective a vu le jour à l'aube du 6 janvier 1990 dans un hôpital londonien, peu de temps après le Nouvel An, comme s'il s'agissait là de la promesse d'une bonne année pour cette petite famille. nationalité et origines | C'est un produit purement anglais, et il est difficile de passer à côté ; il suffit de l'entendre pour briser tous les doutes. pronoms et genre | Parfaitement cisgenre, la question de genre n'a jamais été l'un de ses problèmes. orientation sexuelle et situation relationnelle | Oui, il a un physique qui saurait plaire à quelques uns, ou parfois il s'agit de son esprit déluré qui sait charmer quelques pauvres âmes innocentes. Pourtant, à tous, Sherlock a toujours dit non pour une raison qu'il justifierait en disant qu'il est marié à son travail et qu'il n'a pas le temps ni l'énergie nécessaires à fournir dans des sentiments. La vérité se cache dans un manque cruel d'attirance romantique et sexuelle. Ce ne sont pas ces choses-là qui le stimulent. Et sûrement est-il voué à finir seul, complètement seul. Activité | Il se proclame détective consultant, le seul du monde par ailleurs. arrivée à Bridgton | Il n'a fallu que d'une malheureuse porte traversée pour que le détective se retrouve dans cette réalité qui n'est pas la sienne. caractère et particularité | Il est... difficile de passer à côté de cette personnalité antipathique que Sherlock représente. Doté d'un sens affuté de perspicacité, nombreux sont ceux qui en ont subi les honteuses conséquences de voir leurs vulnérabilités dévoilées au grand jour. Le plus gros problème du détective est cette prédisposition écrasante à l'ennuie qui plane constamment au-dessus de lui comme un aigle survole dangereusement sa proie. Il a toujours besoin de plus, de stimulations, de mystères tordus, de dangers... et quand le morbide ne suffit plus, que les enquêtes se succèdent ou que rien ne sait retenir assez longtemps son attention, il chute immanquablement vers les drogues et les substances les plus addictives, juste le temps de satisfaire ses neurones insatiables durant une minute. Grand manipulateur, Sherlock ne ressent aucun remord quant à utiliser les gens quand leur position ou leurs contacts lui permettent d'avancer dans ses enquêtes. Il est socialement éloigné des coutumes, ne prenant ni la peine de les comprendre ni de les appliquer. Ses plus proches connaissances s'accordent sur le fait de penser qu'il se situe quelque part sur le spectre de l'Autisme. Malgré cela, il semble être capable de témoigner une affection toute particulière à ceux qui comptent le plus pour lui - aussi rares soient-ils.